2021, année post-apocalyptique : comment réapprendre à vivre ?

Voilà, c’est fini ! Les fêtes de fin d’année sont passées. Nous sommes officiellement en 2021 depuis treize jours. Nul besoin de nous le répéter, 2020 a été une année exceptionnelle dans tous les sens du terme. Et si à cause du COVID, pour certains d’entre nous, cette année s’est avérée être la pire de leur existence, il serait logique de s’interroger sur l’après. Comment reprendre une vie normale, avec de nouveaux objectifs et des bonnes résolutions pleins la tête, après une année décrite comme apocalyptique ? Nous aussi, à la rédaction d’ESIMBI Magazine, on s’est posé la question, et voici quelques pistes de réponses. 

 

5, 4, 3, 2, 1.... Bonne année ! Alors, oui, on sait, le passage à cette nouvelle année ne s’est pas fait comme à l’accoutumée. Cette année, nous avons été privés de la grande beuverie annuelle, des pétards, des confettis, et de l’oncle Roger, couché à moitié mort depuis 22H30 sur le canapé. Toutefois, vous en conviendrez, cela reste une grâce énorme, d’avoir eu la chance de pouvoir fêter à six (restrictions obliges), la fin de cette affreuse année 2020. A jamais dans le camp des optimistes infatigables, à la rédaction, on a quelque peu analysé la situation. Comme vous, on se dit que, concrètement, 2020 se termine pour laisser place à 2021, Oui, mais toujours avec son lot de crises. Car, si 2020 a vu naitre le début de la crise sanitaire, celle-ci est loin d’être derrière nous. En plus de devoir apprendre à vivre sur la durée avec Madame COVID, il va falloir encaisser les coups de matraques que la crise économique, qu’elle a engendré, va laisser à notre porte-monnaie. Bref, la liste des bricoles qui vont nous tomber sur la tête est encore longue. Donc, première bonne résolution, pour réapprendre à vivre en 2021, on s’extirpe coûte que coûte de ce climat d’angoisse sociétal, qui n’est pas du tout bon pour le moral.  

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Par quels moyens ?  

Et bien, tout d’abord, on se recentre sur l’essentiel. 2020 a été brutale, en 2021 on est radical. On se débarrasse de tout ce qui ne contribue pas à notre bien-être, tant sur le plan psychique que physique. Pour y arriver, posez-vous les bonnes questions. De quoi avez-vous besoin dans votre vie ?  Qu’est-ce qui vous est nécessaire ? Vous l’aurez compris, le retour à l’essentiel, c’est l’évacuation des quêtes superflues. Pour y arriver, on applique le conseil de Platon. “L’essentiel n’est pas de vivre mais de bien vivre.”  

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Une fois l’élimination des tentations vaines et des encombrants, tant humains que matériels, effectuée, on passe à la phase d’initiative et d’entreprenariat. Pour appliquer correctement le conseil du philosophe Platon, on n'attend pas de se faire surprendre par le séisme économique. Car pour bien vivre sur cette terre, malheureusement ou heureusement, tout dépend du point de vue. On a toujours besoin d’argent. Attention, nous n’avons pas dit qu’il fallait devenir milliardaire à tout prix. Juste que cette année, plus que les autres, vous devez vous concentrer sur la manière d’atteindre votre point d’orgasme du bien-être intérieur, pour vous permettre de vivre votre vie convenablement. Pour éviter de se prendre une claque sur le plan économique, on innove, on anticipe, on entreprend, on fait des plans, on se concentre sur l’action. Car s’il y a bien une leçon que 2020, nous a permis de retenir, c’est bien, comment appréhender une crise, non ?

Face à l’incertitude économique, on crée un espace sécurisé pour son porte-monnaie en misant avant tout sur ses compétences et sa créativité. En bref, cette année, on prévoit un plan B, C, D, E, F, G, au cas où notre employeur principal mettrait la clé sous la porte.  

Une fois que vous avez accompli ces deux premières phases, il ne vous reste plus qu’à enclencher la phase finale. PROFITER. Oui, oui, vous avez bien lu. A partir de 2021, on transforme chaque minute de vie en instant magique. Certains diront que c’est utopique, mais encore une fois, l’utopie se crée à partir de la conscience de chaque individu. En somme, si vous décidez d’être les acteurs de votre vie, et que vous voulez en tirer le meilleur parti, il vous suffit de profiter de chaque instant de celle-ci.

Faites de chaque moment avec votre famille, vos amis, vos collègues, votre chéri(e), des moments de bonheur à chérir afin de profiter de chaque fraction de seconde de cette année post-apocalyptique.  

 

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Chrystal Marcel : "Un entrepreneur est un grand rêveur qui va au bout de ses rêves"

Christel Marcel, surnommée Chrystal, a bâti sa carrière dans le milieu de l’audiovisuel et plus précisément du casting, de manière progressive. On pourrait presque dire que cette entrepreneuse, reconnue pour ses compétences et ses qualités humaines, est tombée dans la marmite depuis petite. Très appréciée de ses partenaires et des plus grands influenceurs et célébrités de la scène artistique française, Chrystal a accepté de revenir sur ce qui fait d’elle, la femme influente qu’elle est aujourd’hui, dans portrait d’entrepreneur, pour Esimbi Magazine.  

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Esimbi Magazine : Présente-toi aux lecteurs d’ESIMBI MAGAZINE ?  

Chrystal Marcel “Alors, moi je suis chrystal, directrice de casting depuis plus de 10 ans, et grande passionnée de la vie. J’adore découvrir des nouvelles choses. Mais je suis également une grande passionnée des gens. J’adore découvrir leur potentiel et les mettre en lumière.”  

 

Esimbi Magazine : Comment es-tu rentrée dans ce milieu ? 

Chrystal Marcel “Pour faire court, depuis toute jeune j’adorais partager mes bons plans. Je faisais beaucoup de figuration, pour tout ce qui était sitcoms pour ados, publicités, émissions télés, séries etc... Et j’adorais partager mes plans avec les gens que je connaissais.  

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J’ai rencontré Kool Shen qui m’a proposé de tourner dans un de ses clips. Il m’a d’abord demandé si je pouvais inviter une dizaine de filles...Puis, une dizaine de garçons. En voyant que je réussissais sans problème, il a fini par me demander : “Est-ce que tu peux inviter 100 personnes.” (rires) J’ai invité les amis, des amis, des amis, et j’ai fait le clip Two shouts for my people, avec une centaine de figurants.  

J’ai fait très bonne impression auprès de la boite de production qui s’occupait du montage de ce clip. Ils ont demandé à me rencontrer et c’est comme ça que ça a démarré. J’ai travaillé avec eux pendant deux ans en tant que directrice de casting avant de monter ma propre agence de casting.”  

 

Esimbi Magazine : A tes débuts, quelles ont été les défis auxquels tu as été confrontée ?  

Chrystal Marcel “Les défis, c’était surtout qu’on ne me connaissait pas. J’étais très jeune. J’avais 23 ans quand j’ai monté ma société. A cet âge-là, j’en paraissais 18. Donc, le souci de crédibilité, il était là. Mon focus a été de leur montrer que j’étais performante dans mon métier. Mais surtout, que j’étais passionnée et que je me donnais vraiment à fond.  

Je suis aussi quelqu’un d’extrêmement perfectionniste, mon éthique de travail me permettait de leur prouver, qu’il ne fallait pas me juger par rapport à mon âge, mais plutôt par rapport à mes compétences.  

Il ne faisait aucun doute que je me défonçais triplement fois plus que n’importe qui, et c’est ce qui m’a permis d’avoir de plus en plus de demande, de très bons retours et de fidéliser mes clients.”  

 

Esimbi Magazine : En quoi ton métier te fait rêver encore aujourd’hui ? Est-ce que tu dirais que “rêver en travaillant” est un élément essentiel pour pouvoir continuer quand on est entrepreneur ?  

Chrystal Marcel “Mon métier me fait rêver et je pense qu’il va me faire rêver encore très, très, très longtemps. Tout simplement parce que chaque projet est différent, chaque émission, chaque tournage, chaque film, pub etc... Chaque projet est unique, et à chaque fois, ce sont des nouvelles personnes que l’on doit trouver.  

Hier encore, j’étais sur le tournage d’une publicité pour AIDS. Et, c’est typiquement, dans ce genre de moment, que tu te dis intérieurement que t’es utile. C’est toi qui permets aux gens de réaliser leurs rêves et d’être en lumière. Et c'est çà mon métier. C’est de permettre aux gens de briller, de vraiment montrer leur talent, de gagner en assurance et surtout de changer des vies.  

Et c’est aussi ça, être entrepreneur. Rêver en travaillant, oui. Mais accomplir ses rêves surtout. Concrètement, pour moi, un entrepreneur, c’est quelqu’un qui a des rêves et qui les accomplit. Quelqu’un qui n’a pas de rêves, ce n’est pas un entrepreneur, ce n’est pas possible.  

Un entrepreneur est un grand rêveur qui va au bout de ses rêves et qui les réalise.” 

 

Esimbi Magazine : Tu fais partie des rares personnes de la communauté afro-caribéenne à être influente dans ce milieu, as quoi attribue-tu ton succès ?  

Chrystal Marcel “Mon succès, je l’attribue surtout à mon niveau de compétences et à mon travail. Je ne me suis jamais dit en rencontrant un client, ‘bah je suis une femme, je suis noire, je suis jeune et je dois tout prouver.’ Non. 

Dans ma tête, c’était, ‘je suis une excellente directrice de casting, je vais leur prouver qu’ils ont raison de me faire confiance et de travailler avec moi.’ Et ce que je pourrais dire aux personnes de la communauté qui souhaitent également se lancer, c’est de ne pas se mettre des freins. Parce que le plus grand frein, c’est nous même. Si on commence nous, à se dire, je suis noire ou je suis une femme, ou je suis jeune, je n’y arriverais pas. C’est l’image que l’on va transmettre aux autres.  

Pour moi, il faut qu’on te juge par rapport à tes compétences, ta confiance en toi et ton assurance.”  

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Esimbi Magazine : Vivienne de Beaufort, directrice de programme entreprendre au féminin de l’Essec business school a dit : Les femmes ont le complexe de l’imposteur. Elles ont souvent une exigence de perfection que personne ne leur demande.” Qu’en penses-tu ? Et surtout est-ce que tu penses que cet adage pourrait s’appliquer pour les femmes afro entrepreneurs de France par exemple ?  

Chrystal Marcel “Le syndrome de l’imposteur ce n’est pas quelque chose qui s’applique seulement aux femmes afro-entrepreneurs ou aux femmes tout court. Le syndrome de l’imposteur, ça arrive à beaucoup de personnes, à partir du moment où on concrétise quelque chose, et qu’on se dit, ‘oui mais, est-ce que j’ai vraiment le mérite pour’.  

Le syndrome de l’imposteur, c’est un peu comme la solitude de l’entrepreneur, c’est quelque chose par lequel on passe forcément. Il faut juste réussir à se dire, qu’à partir du moment où tu as réussi quelque chose, il n’y a pas lieu d’avoir le syndrome de l’imposteur, même pour une femme noire.  A partir du moment où tu maitrise ton art, tu le maitrise, point barre.”  

 

Esimbi Magazine : Comment penses-tu que les femmes d’origines afro qui nourrissent l’ambition de travailler dans les médias, devraient appréhender les challenges qui les attendent ? 

Chrystal Marcel “Pour moi, tout vient de l’image que toi-même tu reflète. Si dans ta tête tu te dis, mince je suis noire, ça va être plus compliquée pour moi, quand tu vas voir les gens et que tu vas les démarcher, c’est l’image que tu vas leur donner. Avant d’être une entrepreneuse, avant d’être une winneuse, avant d’être accomplie, ce que tu vas donner comme image, c’est regardez-moi, je suis noire. Non. En quelques secondes, il faut que les gens voient au travers de ta couleur. On est tous différents, et Dieu merci.  

Il faut assumer la personne que tu es dans ton entièreté et surtout avoir confiance en toi et en tes compétences. Je me répète sur ça, mais pour moi c’est vraiment, le plus grand obstacle que les personnes peuvent avoir. Une femme qui a confiance en elle, personne ne pourra la déstabiliser.  

Peut-importe le contexte de notre société. Les personnes de la communauté doivent se dire, ‘je suis entrepreneur et je suis compétent dans ce que je fais’. Et c’est l’image qu’ils donneront aux autres.  

Moi, je me suis toujours considérée comme chanceuse d’être noire. Je remercie Dame Nature, je remercie mes parents, je remercie Dieu.  

Malgré la conjoncture actuelle de notre société, on doit se dire que dans la vie, il faut se battre, et ça, quel que soit nos armes.”  

 

Esimbi Magazine : De quoi es-tu le plus fière aujourd’hui quand tu regardes ton parcours ?  

Chrystal Marcel “Malgré les difficultés et les aléas que peut rencontrer un entrepreneur, et bien, je suis toujours là. Il ne faut pas s’imaginer que quand on est entrepreneur, tout est rose, tout est beau. Non. Être entrepreneur, ça signifie avoir des hauts, des bas et parfois des très, très bas. Du coup, quand je regarde mon parcours, ce dont je suis le plus fière, c’est forcément de n’avoir jamais lâché.”  

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Esimbi Magazine : Quand on est une femme ambitieuse et à succès comme toi, on reçoit souvent des critiques sur la manière de gérer sa carrière ou le fait de délaisser le côté personnel – Comment tu concilie ta vie de femme avec celle d’entrepreneur ?  

Chrystal Marcel “Le nombre de fois où j’ai entendu ‘mais toi tu es carriériste’. (Rires) Alors, que pas du tout. Je suis ambitieuse, certes. J’aime faire mon travail passionnément, mais j’aurais pu être salariée et faire mon travail tout aussi passionnément. Ce n’est pas parce qu’on est entrepreneuse, que toute notre vie est destinée à la carrière professionnelle. Je sais garder du temps pour ma vie privée, mes proches, et ma vie sociale. Ce qui est mon équilibre d’ailleurs. Il y a ce stéréotype en société de : la maison, le mariage, le bébé, le travail. Mais à côté, ce n’est pas ça le plus important. Le plus important, c’est d'être heureux, tout simplement.  

Pour les femmes à qui l’ont fait souvent sentir ce sentiment de culpabilité. Il faut se dire qu’on aura tout le temps ça. Pointer du doigt, ce que vous n’avez pas est une manière pour les gens de se rassurer, sur leurs propres failles. En réalité, il se peut que vous soyez dix mille fois plus heureuse dans votre situation, sans maris ou enfants, qu’eux, mariés avec des enfants.  

Pour ceux qui ont l’habitude de faire des commentaires négatifs comme ça, envers les femmes, jugées trop ambitieuses. Je dirais une chose. Avant d’appuyer sur ce que la personne n’a pas. Essayez de vous concentrer sur ce qui la passionne vraiment. Et là, vous aurez toutes les réponses, du pourquoi, elle n’a pas certaines choses dans sa vie.”  

 

Esimbi Magazine : Après plus de 10 ans dans ce milieu quelles sont tes ambitions aujourd’hui ?  

Chrystal Marcel “Mes ambitions aujourd’hui, c’est de développer l’agence au niveau international. Je pense que le tour de la France, je l’ai fait.  J’ai vu des pays, où il n’y pas d’agence de casting. Je veux me concentrer sur le développement de l’agence dans ces différents pays, et prendre beaucoup de plaisir à le faire.”   

 

Esimbi Magazine : Pour terminer, avec ton expérience et l’avenir qui le nôtre aujourd’hui, si tu avais un conseil à donner aux femmes afro-caribéennes entrepreneurs de France et d’ailleurs, que leur dirais-tu ?  

Chrystal Marcel “Pour toutes les femmes qui souhaitent devenir entrepreneur, je vous dirais que si jamais vous voulez créer, dans cette période de COVID, dites-vous que cette période nous permet de voir qu’il faut tout digitaliser. L’avenir est dans le digital. Pour celles qui ont déjà entrepris, au lieu de se dire, mince c’est la catastrophe. Essayez de voir comment vous pouvez dès maintenant digitaliser votre commerce. Vous êtes un institut de beauté. Proposez des formations en ligne, ou des conseils beauté à la maison, et vendez vos produits en ligne, par exemple. 

A titre personnel, c’est ce que j’ai fait avec ma société. Je fais désormais les castings en ligne. Il faut savoir prendre les difficultés comme des opportunités. Voir comment vous pouvez amener votre entreprise à se développer. Digitaliser son entreprise, c’est une façon beaucoup plus simple de pouvoir la digitaliser partout dans le monde et donc surtout, de toucher un plus large public. Pour moi l’avenir de demain, c’est le digital.”  

 

Suivez le travail de Chrystal via son site internet : https://chrystalcasting.com/agence/

Ou sur Instagram : https://www.instagram.com/chrystal_casting/channel/

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Congo Nation of Ball, éduquer par le sport

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Lancé en 2018, Nation of Ball est une plateforme qui a pour mission de rassembler et d’éduquer à travers le sport afin de promouvoir les talents et l’excellence africaine à l’internationale. Par le biais de ses évènements, elle vise à créer une nouvelle infrastructure de Street Basket à Kinshasa et à organiser des journées éducatives et sportives destinées aux écoles et aux orphelinats.

Animé par Malick Traoré, présentateur télé à Canal +, le Gala Day a marqué le lancement des festivités le 10 Aout 2019 à Paris.  L’ouverture de la journée s’est faite par l’hymne nationale de la RDC suivie de la chanson Bâna Congo interprété par Luis Guedeon.

Deux équipes se sont affrontées : Congo nation of Ball (Team 1) et World (Team 2) constituées des professionnels évoluant en France et à l’international, à l’issue de l’affrontement au format All stars games, la Team 2 remporta la partie avec un score de 58 à 57.

Le but étant de fédérer autour de sport mais également de démontrer la force des cultures africaines et la fierté commune de faire partie du continent, le danseur Popaul Amisi et la danseuse Gwendoline avaient égayés les invités par une performance du Mutuashi, danse originaire de la république démocratique du Congo.

 Plusieurs personnalités de la diaspora étaient présentes telles que le comédien Frederic Bukole, les chanteurs Poison Mobutu et Stone Marley, les entrepreneurs Tina Lobondi, fondatrice d’Esimbi magazine et Christian Mulumba, fondateur de 6. Kay + Media beclutch.

La journée avait été une réussite mais le plus important reste encore à faire, poursuivant sur sa lancée la prochaine étape sera Kinshasa où est prévu l’organisation d’une première journée sportive et éducationnelle qui sera parrainée par les léopards, l’équipe nationale de basket.

 

 

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Le Rwanda, la nouvelle Silicon Valley en Afrique ?

Situé à l’Est de l’Afrique, le Rwanda s’est fait remarqué par ses nombreuses prouesses technologiques.

Sommes nous face à la naissance de la Silicon Valley africaine ?

En effet, depuis quelques années nous faisons face à la montée en puissance de l’esprit entrepreneurial dans ce pays de plus de 21 187 600 habitants. La nouvelle gouvernance du président Kagame et son équipe dépassent les frontières.

Dans un pays 26 338 m² où deux ethnies se disputaient dans un passé encore assez proche dans la mémoire de la population, il n’a jamais été simple d’y vivre. Là où la plupart des observateurs étrangers pensaient qu’il ne pouvait être possible d’investir, un smartphone performant et à la pointe de la technologie est sorti de terre.

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Mara X et Mara Z utiliseront le système d’exploitation Android de google. Mara Group et le Rwanda nous prouvent que le rêve africain est possible.

En juin dernier, c’était l’industrie automobile qui avait été à l’honneur, le démarrage de la nouvelle usine d’assemblage de Volkswagen a eu lieu à Kigali, la capitale du pays. Celle-ci aura pour objectif de produire un nombre initial de 5000 véhicules par an, un objectif que nous pensons plus que réalisable.

Pour le pays, c’est un grand pas dans une initiative d’industrialisation et de diversification à l’exportation de voitures d’occasions. Le président de la république Paul Kagame avait tenu marque de sa présence à ce moment historique pour le pays et l'Afrique dans son ensemble.

C’est l’Afrique qui gagne…

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